Égarements
A quoi penses-tu mon ange devant cet amalgame de
mots ?
Te rappelle-t-il le labyrinthe d’une semaine passée…
Tu étais perplexe devant ces hommes qui se saluaient
cherchant la porte de sortie, ça se voyait à ton visage.
Ce jeu d’écriture t’invite à sortir enfin de ta coquille,
Alors tu en profites pour gribouiller des lignes que tu
ratures et recommences,
qui se mêlent et s’entrelacent, de celles que la main
trace dans l’inconscience d’une rêverie…
Une vie semblable chaque jour
Et le soir quand se lève la brise estivale
Il ne restera en mémoire
Que le frisson d’une rose qui s’effeuille.
photo Mil Et Une (clic)
LC de la Cachette - texte - photo