James Abbott McNeill Whistler, Nocturne en noir et or, La fusée
retombante, 1875,huile sur bois, 60 x 46 cm, Detroit Institute of Arts,
Detroit
D'un vacarme assourdissant
Un monstre surgit gueule béante
Crachant sa langue de feu
Dans le ciel crépusculaire
Les étoiles pleurent des étincelles
Mannequins tétanisées
Des ombres passives à l'écart de la ville
Restent sur la rive
Devant l'artificielle
Perturbation de l'ordre régulier de la nature
Un rendez-vous avec l'au-delà
LC de la Cachette texte -
Un rendez-vous chargé d'intensité et d'éclats d'étoile..
RépondreSupprimerUn beau poème, comme un rappel à l'ordre.
RépondreSupprimerDevant l'artificiel il est difficile de voir l'essentiel
Ta page est magnifique, Josette, j'ai beaucoup aimé ce défi.
RépondreSupprimerBises et douce soirée.
je n'avais pas vu le monstre mais les aléas de notre monde il y a de tout à voir dans cette peinture et ta manière me plait aussi...
RépondreSupprimerPelleter la neige c'est dur et astreignant mais ici un peu de neige c'est si rare et elle ne tient généralement pas alors on aimerait un peu de sa magie...
Bises Josette, amitié