Herbier page 114
Petit à petit j'ai quitté mes oripeaux
La robe blanche de communiante et de mariée
La robe rouge quand on s'est aimé
La robe grise de monotonie et de mélancolie
Petit à petit j'ai quitté mes oripeaux
Je laisse sur le fil mon fantôme se dessécher
C'est dépouillée l'âme mise à nue
Que je veux m'envoler là-bas dans l'azur
LC de la Cachette texte
N'emporter que l'essentiel pour le dernier voyage...
RépondreSupprimerTes mots sonnent justes.
D'accord avec ABC...
RépondreSupprimerMerci pour tout Josette.
Bises et douce journée.
Si l'on visite certains cimetières, on peut s'apercevoir que même dans la mort ou ses apparences, tous ne sont pas traités également.
RépondreSupprimerPourtant un poète disait qu'on venait nu et que l'on repartait de même
belle vision des choses Josette marci