
Léonard Tsuguharu Foujita, Femme allongée, Youki, 1923, huile sur toile, 50 x 61cm, collection particulière © Fondation Foujita ADAGP, Paris, 2018
Dans sa nudité
encore pâle la jeune accouchée
- Solitude
Ses yeux noirs grand ouverts
traduisent un déni de vie
LC de la Cachette texte
Bonjour Josette… pauvre bébé que voilà, sa maman semble aux abonnés absents, en effet ! Bises, jill
RépondreSupprimerPerdue dans son nuage blanc
RépondreSupprimertoute étonnée d'être mère
entend-t-elle l'enfant pleurer ?
Baby blues, peut-être, joliment exprimé Zozette !
RépondreSupprimerInterprétation toute personnelle et qui correspond tout à fait à l'image quand on la regarde avec ces mots-là. Elle trouvera le chemin de son enfant, il faut l'espérer.
RépondreSupprimerbises
J'ai découvert ta participation sur la page de l'herbier... c'est magnifique !
RépondreSupprimerJ'aime énormément.
Passe une douce journée. Bisous.
S'il vous plaît
RépondreSupprimerEncore un peu de temps
au milieu de ce grand blanc
je sens lentement l'appel de l'enfant