vendredi 7 septembre 2018

Herbier de poésies - page 117


 
Léonard Tsuguharu Foujita, Femme allongée, Youki, 1923, huile sur toile, 50 x 61cm, collection particulière © Fondation Foujita  ADAGP, Paris, 2018


 Dans sa nudité
encore pâle la jeune accouchée
- Solitude

Ses yeux noirs grand ouverts
  traduisent un déni de vie


6 commentaires:

  1. Bonjour Josette… pauvre bébé que voilà, sa maman semble aux abonnés absents, en effet ! Bises, jill

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  2. Perdue dans son nuage blanc
    toute étonnée d'être mère
    entend-t-elle l'enfant pleurer ?

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  3. Baby blues, peut-être, joliment exprimé Zozette !

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  4. Interprétation toute personnelle et qui correspond tout à fait à l'image quand on la regarde avec ces mots-là. Elle trouvera le chemin de son enfant, il faut l'espérer.
    bises

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  5. J'ai découvert ta participation sur la page de l'herbier... c'est magnifique !
    J'aime énormément.
    Passe une douce journée. Bisous.

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  6. S'il vous plaît
    Encore un peu de temps
    au milieu de ce grand blanc
    je sens lentement l'appel de l'enfant

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